Artglodyte Blog


Passeurs de lumière

Vitrail et ombre portée: Passeur de lumière…

Elfes
Atelier ouvert au village l’après midi à partir de 13 heuresméditantvenus

du 27 au 30 avril.

Pour plus d’infos me contacter par courriel

 



La voix est libre! enchantons tout…

La voix est un reflet important de notre personnalité, notre outils principal pour communiquer, se faire comprendre. Pourtant si nous nous entendons sur enregistrement il arrive fréquemment que cette voix qui est la notre nous surprenne et même nous déplaise ! Pour beaucoup elle est un peu une étrangère que l’on a oublié de connaître et d’aimer.

Le Yoga de la voix du cœur est une ré-découverte, une réconciliation.
Une approche en groupe, chaleureuse et ludique du son émis par notre voix dans la confiance et l’ouverture.    Les techniques utilisées, à la portée de tous et toutes, libèrent les harmoniques, développent les rythmes et la conscience de la musique qui nous habite. Dans cet atelier il est question de tout autre chose que chanter juste ou faux.
Il s’agit davantage d’explorer ensemble des vocalises intuitives dans lesquelles le rapport à la respiration, au souffle de vie, soulage les tensions musculaires et nerveuses, stimulent la vitalité et la joie spontanée engendrée par ce partage.

La première journée sera donc orientée sur la relaxation dynamique, la stimulation sonore, les percussions corporelles et divers jeux de découverte de différents potentiels de notre voix. Le jour suivant, extraits de poèmes, chants et ritournelles seront les supports du programme.
En effet ces évocations touchent directement nos émotions.
Nous vibrerons ensemble sur des morceaux choisis, dégustant les mots et les couleurs chantés.

Le stage sera accompagné de divers petits instruments ethniques et d’un harmonium indien.
Animé par Emmanuelle Azar-Pichat (Manoocha): Sophrologue, chanteuse, musicienne, clown, elle pratique et partage des mélopées tibétaines, des chants tziganes et des compositions originales…

Au plaisir de vous écouter…

Chalut’ les ami(e)s c’est le printemps allez!  cette année l’est en avance et on veut se joindre aux oiseaux et « loulouves » diverses et variés pour faire vibrer la tuff’ de nos voix éraillées par les blues hivernaux. On va tout ramoner et hurler à la joie, apprendre à s’envoler et murmurer l’amour!

affiche manoucha chant

Les dates: Trois Week-end au choix: Les 11 et 12 Avril, les 18 et 19 Avril, les 25 et 26 Avril.

Lieu de l’événement: Le village Troglobal , ses caves et ses clairières. Possibilité de camper sur place.

PAF: 60 neurones (le W.E) pour soutenir les projets des Zazouilles (http://zazouilles.org)

Les 1er,  2 et 3 mai pour les plus confirmés 3 jours de partage avec performance publique, collective et enchantée (prix libre)



La Capitale

La fin de ce voyage (qui ne cesse d’en annoncer d’autres) approche. 
Phnom Penh nous a ouvert les portes de chez Eric,  nous avons des amis dans la cité.

 La  capitale est paradoxale, une de plus!  (pardon la femme sauvage en moi trouve l’ urbanisme hard core). Heureusement Philippe nous envoie flotter sur le bleu Mékong découvrir l’autre rive.
La mobylette lévitante on longe le fleuve mythique dans la banlieue campagnarde, ouf! un peu d’air.

Un soir on assiste au théâtre d’ombres traditionnel tout teinté de critique sociale, Muppets show local  donné des coulisses d’une villa,  dans la rue, pour des passants providentiels…Bien beau et bien joué!

Orianne nous attend dans l’orphelinat où elle et Corentin sont bénévoles (courageux et généreux ces loulous là).

Il fait 45°, nos clowns finissent flaquifiés au milieu des minouches toujours surpris qu’existent d’aussi drôles de bestioles humaines, si différents et pourtant dans lesquelles ils se reconnaissent.

Eric mi khmer mi french et entièrement clown (entre autres),  en spectateur avisé, prend des notes et après coup nous fait découvrir dans une hilarité trilogique où nous pouvons davantage encore, nous dévoiler, nous déployer.

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Notre envie de jouer est démultipliée, mais avant, explorer en huit clos les espaces de rythme, de chorégraphie et d’intériorité s’impose comme une évidence de perfectionnement.

Les Zazouilles en pause de scène , nous retournons à Chanthabury pour œuvrer à ces différents aspects ainsi que pour retrouver Fewa-Fawe.

En effet pour ceux qui ont lu l’avant dernier article, c’est là que se trouve notre petite famille de « sculpteurs de corps »  alors, l’ouvrage continue et approfondit son chemin de bohémien bosseur et passionné, dans l’esprit du clown et du corps guérissant et guérisseur.

A suivre…

 




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